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Je ne cesse de croiser Matthieu Almaric sur l'Avenue Parmentier.




Nous y voilà. Lundi soir, 19h14, je rentre de mes trois premières heures de cours à l'université.
Le labyrinthe de salles n'a pas eu ma peau, ma petite agoraphobie non plus. Des discussions avec des visages - qui m'étaient encore inconnus il y a six heures - durant les pauses. Des cigarettes fumées pour passer le temps, les heures.
Littérature & psychanalyse, un cours optionnel qui n'en reste pas moins très intéressant. Ou comment répéter Freud plus de cent fois en trois heures.
Une première impression plutôt bonne, même si j'avais pris goût aux vacances... il faut bien reprendre un jour. (& puis c'est tout de même mieux de se cultiver ici plutôt que de produire des hamburgers à la chaine chez Macdonald - mais quoi qu'il en soit cette aventure a été très enrichissante socialement pour moi ! & je conseille à tous le Macdonald du Boulevard Montmartre, juste en face de la bouche de métro Richelieu-Drouot)


Avant la fin de semaine je m'oblige à aller voir l'exposition de David Lynch aux Galeries Lafayette.
Une petite critique trouvera sa place sur ce blog. Je compte réduire - un peu - (peut-être) le nombrilisme littéraire.


Oh voilà qu'il pleut à Paris. Une grosse averse. La chaleur ambiante retombe. On a envie d'enfoncer sa tête sous la couette. Je vais aller me réchauffer avec un thé poire-framboise, & en dégustant un nougat.

En attendant d'en avoir fait de meilleurs clichés je vous propose de cliquer ici (& ici) pour voir ma nouvelle trouvaille chez Zara. Une jolie robe bustier, un peu courte, mais qui a fait chavirer mon cœur (& surtout que le prix était particulièrement bas pour du Zara - 30 euros). Accompagnée d'une jolie paire de collants bleus-verts & de bottines (cloutées ou à lacets ?) que je n'ai pas encore, elle sera parfaite.

& pour illustrer cet article, les robes frippées à Paris.

1 commentaires:

Alma miaou a dit…

miouuuw bon, tu vois, ce n'était pas si terrible ! après on repère vite les cours chiants et pas très utiles, les heures où on doit un peu se pousser pour y aller...
n'empêche, si tu passes avenue Parmentier, tu es très près de chez nous *.* peut-être que je te croiserai d'ici lundi prochain ? (après je pars trois semaines au froid, puis on déménage...)

et je jalouse tes robes, moi qui essaie d'en trouver une potable depuis des semaines, et repars toujours bredouille...

bisous jolie Maou

Julien Rouyer Graphiste's Fan Box

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